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Un pas de côté, et hop, la médaille se dérobe. Hier aux Jeux olympiques d’hiver de Pékin, le skieur alpin (français) Alexis Pinturault, voulait décrocher sur le sol chinois le titre manquant à son palmarès, celui du slalom. Las, il a chuté. Déséquilibré à l’entrée du dernier tronçon de « The Rock », juste assez pour n’avoir plus de vitesse à « amener » avant le plat final dans un canyon aride. « Je pense que je fais une grosse erreur à la descente qui me coûte cher. Derrière, j’ai le couteau sous la gorge, il ne me reste qu’une seule option, je tente le tout pour le tout », a-t-il expliqué.
Des bilans médicaux « rassurants » font état d’une « contusion simple de l’épaule ». Alexis Pinturault pense être en capacité de défendre ses chances ce dimanche lors du slalom géant, sa discipline de prédilection, dans laquelle il a conquis deux de ses trois médailles olympiques (bronze à Sotchi-2014 et à PyeongChang-2018).
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C’est un autre type de dérapage qui risque de coûter cher à Kamila Valieva, la nouvelle petite pépite du patinage artistique. Lundi dernier, la jeune patineuse russe (15 ans), qui participe aux compétitions sous pavillon neutre à cause d’un retentissant scandale de dopage durant les JO de Sotchi, a ébloui tout le monde dans l’épreuve par équipe. Mais voilà que le journal russe Kommersant révèle qu’elle aurait fait l’objet d’un contrôle positif avant le début des Jeux, en décembre. La substance identifiée serait la trimétazidine, utilisée pour soulager les angines de poitrine et interdite par l’Agence mondiale antidopage (AMA) depuis 2014.
Dans l’attente d’examens plus approfondie, la cérémonie de remise de médailles a été reportée.